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Elles se résignent alors, en attendant qu'un hypothétique soupirant vienne les épouser et les délivrer de l'esclavage sexuel. Les fugueuses, quand elles sont rattrapées par la police, sont aussitôt mises en détention,
en attendant de les remettre à leur tuteur. Car sortir sans la permission du kafil est, en effet, considéré comme un délit.
"À cause d'une tentative d'évasion ratée, mes filles sont restées en prison à Amman pendant 18 jours. Là-bas, elles ont rencontré desMarocaines qui croupissaient dans les geôles depuis des mois", raconte leur père Mustapha.

L'inadéquation des lois entre le Maroc et les pays du Golfe est en effet le véritable problème derrière le développement de la traite. Mais les acteurs associatifs conviennent qu'il faut combattre les réseaux à la base, en amont, c'est-à-dire au Maroc.
Selon un magistrat, les mafias au Maroc sont pilotées par des Jordaniens, des Irakiens et des Syriens.
Avec, systématiquement, la complicité d'une Marocaine qui sert d'intermédiaire avec les filles convoitées.


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Leurs terrains de chasse sont classiques : salons de coiffure, hammams, cafés ou soirées privées. Recrutées dans les milieux modestes et les campagnes, ces filles "de troisième division", selon l'expression d'un connaisseur du dossier, partent avec des contrats de travail pour lesquels elles ont payé entre 10 000 et 30 000 DH. Sur place, elles sont séquestrées et obligées de se prostituer pour payer leurs frais de séjour. Les salaires, annoncés dans le contrat de base, et qui sont déjà modestes (4000 DH tout au plus), sont ponctionnés d'une moitié et versés. à l'employeur ! La mobilisation des ONG Depuis quelques mois, le milieu associatif commence à s'activer pour lever le silence sur ce drame et pousser les politiques à agir. À l'occasion des consultations menées sur le futur Conseil des MRE, trois membres du CCDH ont effectué une visite dans certains pays du Proche-Orient pour s'enquérir de l'état des Marocains du Golfe, "ces oubliés de l'histoire", comme les qualifie Mohamed Khachani, professeur universitaire et expert en mouvements migratoires. Ce dernier a réalisé une étude pour le compte de la Fondation Hassan II, bientôt publiée, dont l'objectif est d'attirer l'attention sur cette communauté souillée par les préjugés. L'image de la "Marocaine prostituée" et du "Marocain proxénète" a entraîné des dommages collatéraux.

" Ma sour est directrice dans une multinationale à Dubaï. Une fois, elle était invitée à une réception.
Rentrée chez elle, elle reçoit un coup de fil d'un des invités qui lui demande une rencontre galante.
Depuis ce soir, elle ne décline plus son identité marocaine. En société, elle est devenue désormais algérienne !",
raconte, dépitée, une ressortissante marocaine installée en Europe. Pour Mohamed Khachani,
il est temps de rectifier le tir. "Cette investigation me tenait à cour
car j'ai vu combien nos concitoyennes souffrent là-bas", dit-il.

Les témoignages qu'il a pu recueillir en Libye, en Arabie Saoudite, aux Emirats Arabes Unis, au Sultanat d'Oman et en Jordanie ont abouti à un constat qui confirme celui émis par les ambassades marocaines :
é viter de rejeter l'entière responsabilité sur les pays du Golfe et remédier au problème à partir du Maroc.

" Il faut analyser les raisons de cette obsession qu'ont lesMarocaines de quitter le pays malgré les dangers encourus",
précise le professeur. "Nous ne sommes pas dans une logique de dénonciation,
mais nous voulons sensibiliser et appeler les Marocaines à plus de vigilance",
admet le sociologue Abdelfettah Ezzine, qui a vécu pendant quatre ans dans un pays du Golfe.
Un réseau international de solidarité avec lesMarocaines du Golfe s'est récemment constitué en Europe.
Pourquoi pas au Maroc ? "C'est plus facile de faire du lobbying à partir des vieilles démocraties",
nous a-t-on expliqué. Surtout, le Maroc peut ainsi éviter une confrontation directe
avec les riches émirs qui viennent investir chez lui.

Composé de personnalités et d'ONG très actives en Europe, le réseau a commencé par faire circuler une pétition demandant aux gouvernements d'assumer leurs responsabilités. Jusqu'à présent, plus de 6500 signatures ont été recueillies (www.gopetition.com). Et un rapport sera remis en juillet prochain à l'ONU.

Autant dire que le scandale des Marocaines du Golfe promet
de devenir un sujet de préoccupation internationale !
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